L'ange doit mourir au premier tour. C'est tout, et c'est déjà galère.
Le grand méchant loup, c'est le plus balaise des loups : une fois sur deux, il se réveille après ses potes et re-tue un villageois. Mais comme il est trop cheaté, il arrête dès qu'un autre loup se fait dézinguer par la populace en furie (ou même par une partie de la populace : sorcière, chasseur...).
Le joueur de flûte charme deux joueurs toutes les nuits. Quand tout le monde est charmé, le joueur de flûte a gagné.
Le loup-garou blanc est un gros fils de putain. Il se réveille avec les autres loups-garous, et une nuit sur deux, il tue un de ses congénères. Et il joue pour sa pomme, le fumier.
La servante dévouée se sacrifie à la mort de son maître, désigné en début de partie par la servante elle-même. Enfin, ça c'est métaphorique, en vrai elle lui pique sa carte et prend son rôle.
Au début de la partie, les trois frères se réveillent et se reconnaissent. C'est tout, mais vu le climat d'insécurité qui règne à Thiercellieux, c'est toujours bien de se connaître quelques alliés.
Et en bonus, un pur moment d'awesomeness :